Fiche technique :
Nous recréons l'ambiance d'une véritable salle de spectacle en tous lieux grâce à notre grand castelet en velours noir extensible. Nous nous adaptons aussi bien aux plateaux équipés. Une structure en forme de chateau résistante aux intempéries est disponible en extérieur.
Nos marionnettes sont grandes et colorées, on les appelle les « marottes ». Elles ressortent très bien sur le fond noir du castelet grâce aux éclairages. Les marottes captivent entièrement l’attention des enfants dont l’émotion est ponctuée par le rythme de la musique. Une succession de moments intenses et de moments calmes canalise leur énergie débordante. Notre travail de création représente un retour à la magie du conte et un pas vers le contact comédien-spectateur, très important pour la sensibilisation des futurs amateurs de théâtre ou autres expressions vivantes.
Compagnie fondée à Paris en 1957 par Charles et Ginette LECOQ, le théâtre d'Animation du Verseau propose, quelle que soit votre structure, des prestations adaptées au jeune public. Une démarche artistique originale, donnant aux marionnettes un réel pouvoir de vie.Les créations ont été réalisées par Thierry LECOQ et son père Charles LECOQ qui tirent leur inspiration de l'observation. Parfois il s'agira d'une adaptation de contes pour les enfants, parfois la réalité suggère des thèmes sur lesquels l'imagination s'épanouie pour lui donner, sous forme de spectacles, une autre dimension. Pour que la magie opère, il était très important de travailler sur des représentations symbolisées des personnages qui prennent corps dans une alchimie du mouvement du son et de la lumière. La manipulation :Le principe de manipulation est celui de la marionnette à tige, dites marottes. Elles diffèrent des marionnettes à gaine du guignol et de marionnettes à fils. La marotte se déplace sur un large espace de jeu déterminé par un castelet à plusieurs niveaux de 7 m de largeur sur 3 m de hauteur et 3 m de profondeur. Les jeux de manipulation sont ainsi plus expressifs, de part l'espace. Les couleurs vives accentuées par les éclairages et la musique recherchée donnent au mouvement le pouvoir de rendre les marottes vivantes dans un univers abstrait et pourtant réel. Les manipulateurs sont Marie-Claire, Thierry et Julien LECOQ. Son et Lumières :La sonorisation est assurée par mini-disc et un jeu d'orgues centralise les projecteurs. Les variations de lumière et de musique sont exécutées par les manipulateurs aux cours de la représentation. Un atelier de construction de marionnettes sera proposé aux enfants avant la représentation. Ils devront choisir un des personnages du spectacle « Tom Pouce » et le construire de A à Z. Pour cette activité les enfants vont exécuter différents travaux (collages, peinture, découpages, .) et manipuler différents matériaux (bois, laine, kapok, cartons, .). L'enfant exprimera avec ses mains sa créativité, et sera ainsi sensibilisé au monde de la marionnette. La marotte construite sera offerte à l'issu de l'atelier, et constituera un merveilleux souvenir de cette aventure !.
Il s'agit d'une adaptation pour comédiens et marionnettes du célèbre conte publié en 1816 par E.T.A Hoffmann, repris par A DUMAS en 1844, consacré par le magnifique ballet de Tchaïkovsky en 1892. Clara se souviendra longtemps de ce Noël particulier. Le père Noël en personne vint lui apporter dans sa chambre, un extraordinaire cadeau. Il s'agissait à première vue d'un simple Casse-Noisette en bois. Elle ne savait pas encore que cet objet dénué d'intérêt n'était autre que le prince du royaume des gourmandises, le fabuleux pays des friandises... Malgré son courage et sa ténacité le jeune homme avait été vaincu et transformé en Casse-Noisette par le roi des souris. Espérons qu'avec l'aide de Clara et de la fée dragée le vilain roi et son armée ne pourront résister. Dans l'esprit d'un enfant, il n'y a qu'un pas entre rêve et réalité. Une belle manière de sensibiliser les enfants à la musique classique. Nos personnages évoluent sur un castelet à plusieurs niveaux en velours noir. Les marionnettes sont grandes et colorées. Les formes épurées et stylisées prennent vie au coeur d'une alchimie entre le mouvement, les effets de lumière, et la musique omniprésente. Casse-Noisette semble être le support idéal pour une adaptation marionnettique. L'imagination d'Hoffman revisitée par la plume d'Alexandre Dumas donne à ce conte une richesse quasiment inégalée. Ajoutez à cela le génie musical du maître Tchaïkovsky, qui a fait de ce conte un ballet magnifique et mondialement connu. C'est avec humilité, mais néanmoins avec un grand plaisir, que la compagnie a décidé de rendre hommage à cette ouvre, en créant une adaptation pour comédiens et marionnettes. L'objectif étant de rendre accessible aux jeunes enfants à la fois le conte et le support musical, de leur faire découvrir la musique classique dans un contexte ludique. Bien que simplifiée pour une meilleure compréhension, la trame du conte original, extrêmement complexe à la base, est respectée. De la même manière, nous avons conservé dans leur intégralité, tant que faire se peut, les thèmes musicaux du ballet de Tchaïkovski. Du point de vue de la mise en scène, nous avons souhaité trouver un équilibre entre les scènes chorégraphiées qui privilégient l'esthétique du mouvement, et les scènes classiques à vocation ludique comme les poursuites et autres jeux. Comme dans toutes nos créations, l'objectif est de faire ressentir au public une large palette d'émotions. Notre parti pris artistique étant pour se faire de ne pas trop utiliser l'aspect textuel du conte. Ainsi l'imaginaire des enfants est stimulé. C'est le principe même du théâtre d'animation. Nous avons donc opté pour une narration en voix off qui situe l'histoire tout au long du spectacle. Du point de vue technique, l'espace de jeu se déploie sur deux niveaux, avant, arrière scène sur un grand castelet de velours noir qui ne délimite pas de contours spatiaux visuels comme un castelet classique. L'action se situe alors en dehors de l'espace et du temps. Un comédien en pied, en la personne du Père Noël, apparaît au début du spectacle et interagit avec Clara, personnage marionnette, manipulé à vue en théâtre noir (marionnettiste non visible). Cette interaction comédien /marionnette ancre le personnage imaginaire dans une certaine forme de réalité, ce qui légitime l'existence même de la marionnette en tant qu'être vivant. Puis le comédien laisse place aux jeux des marionnettes, qui sont en grande majorité des marottes. (Manipulation simple, double, triple tiges) On retrouvera aussi des procédés de manipulations originaux, ainsi qu'une certaine influence du théâtre d'objet.
Il s'agit d'une adaptation pour comédiens et marionnettes du célèbre conte de Charles PERRAULT, écrit en 1695 sous le nom de "Le maître chat", puis réédité en 1697 sous le titre "Le Chat Botté". Un chat qui parle, ça n'existe pas ! Et bien si ! Ca existe dans les contes et il est drôlement malin ce chat. L'adaptation présentée par le « Théâtre d'Animation du Verseau » pour comédiens et marionnettes du célèbre conte de Charles PERRAULT, "Le Chat Botté" en témoigne. Pour ceux qui ne connaissent pas le conte, sachez qu'il s'agit de l'histoire d'un chat très spécial, car il parle et porte des bottes ! Légué à l'un de ses trois fils par un vieux meniez, il va berner le roi et enrichir son maître, ce qui, bien entendu lui profitera également. De ruse en ruse, d'aventure en aventure, il va réussir à prendre les terres de l'ogre, duquel il ne fera qu'une bouchée et à marier son maître avec la fille du roi. Dans cette adaptation libre, la compagnie aborde l'histoire à sa manière, en montrant différentes scènes clefs du conte et en rajoutant de ci de là des personnages spectaculaires, comme le coq, le garde du rois ou encore le terrible dragon de l'ogre, du haut de ces 2 mètres. Les personnages sont très stylisés (à la manière Tex Avery), car l'importance est donnée au mouvement et à la mise en scène qui suggèrent ce qui n'est pas dit. Il y a une quinzaine de personnages différents, permettant des jeux de scènes très complexes, mais qui restent fluides. L'agencement des scènes permet aux marionnettistes de capter l'attention. Les spectateurs sont donc réceptifs du début à la fin de la représentation, d'une durée de 55 min. La marotte se déplace sur un castelet de velours noirs à plusieurs niveaux, de grande envergure, et peut mesurer jusqu'à 1,30 m. Un comédiens en pied participe à l'histoire, jouant le personnage du fils du meniez, en interaction avec les marionnettes. Cette étonnante rencontre homme marionnette participe à rendre vivant ce monde magique. L'aspect musical est très important, son utilisation va différé d'une scène à l'autre. En simple accompagnement pour certaines, il est un élément structurant dans d'autres, comme les scènes de poursuites, qui font l'objet d'une mise en scène très précise et que les enfants adorent. Danses folkloriques et musique d'époques rythmes la représentation. Les dialogues ont été écrits dans l'esprit du comte, pleins d'humour et d'onomatopées. Ils sont construits de manière à être compris à différents degrés. Les plus petit pourront en saisir l'essentiel et les grands se délecteront de leurs subtilités, car il n'en est pas moins certain que ce chat qui parle et botté en plus, a de l'esprit !
Il s'agit d'une adaptation libre pour comédiens et marionnettes du célèbre conte de Carlo COLLODI, de son verritable nom Carlo LORENZINNI, qu'il écrivit et fit parraître de 1881 à 1883. L'histoire de Pinocchio est la plus magnifique, la plus insolente, la plus drôle et la plus dérangeante des leçons de sagesse. Merveilleux Pinocchio ! Plus étourdi que mauvais, plus malchanceux que méchant, il fourre son nez dans les mauvais coups, soucieux d'ouvrir bien grands des yeux pétillants de malice, sur le monde. A travers les punitions, conséquences de ses actes, on sent très bien une éducation qui ne vise qu'a soumettre l'individu alors que la révolte le conduit à la liberté et la prise en charge de sa destinée. Une relecture et une adaptation du livre de Carlo Collodi. Pour combler sa solitude, Gepetho, un vieux menuisier fabrique un pantin de bois qu'il nomme Pinocchio. Quelques temps plus tard, Pinocchio part à l'école. En chemin il rencontre le renard et le chat qui lui proposent d'aller au cirque, Pinocchio se laisse convaincre mais !!!!! A son insu, il sera vendu au directeur du cirque qui, trop content de posséder une marionnette vivante le fait travailler tous les jours ! Le directeur du cirque lui donne quelques pièces d'or pour son père car il sait qu'il est très pauvre et l'enferme dans une cage en lui disant : c'est pour ta peine, tu les donneras à ton papa si un jour tu sorts d'ici !! Ah, Ah, Ah !!!! Aidé par la fée sa marraine, il s'échappe et reprend le chemin de l'école mais il rencontre en route deux voleurs déguisés en sac !! Ce ne sont autres que le renard et le chat qui profitent de l'occasion pour raconter à Pinocchio l'histoire de l'arbre à sous !! D'aventure en aventure Pinocchio se retrouve en prison car son nez va le trahir lorsqu'il essaiera de mentir aux gendarmes. Heureusement, ses amis marionnettes, Polichinelle et Arlequin le libèreront car les marionnettes reconnaissent en Pinocchio l'une des leurs et lui font fête, il dansent, il dansent. Pendant la disparition de Pinocchio, Gepetho son père, est partit à sa recherche et s'est fait avaler par une baleine. Comment tout cela finira-t-il ? La fée fera-t-elle de Pinocchio un vrai petit garçon !!!!
Il s'agit d'une adaptation pour marionnettes du célèbre conte des mille et une nuit, inspiré de la version cinématographique américaine « Le septième voyage de Sinbad », qui reste très présents dans la mémoire collective. Les voyages de Sinbad sont racontés par Shéhérazade à son époux le Roi Shahryar. Ces voyages fantastiques font partie des contes des milles et une nuit. Le roi Shahryar a été trahit par son épouse, qu'il a fait exécuter. Pour se venger des femmes, il en épouse une nouvelle chaque jour, qu'il fait exécuter le lendemain. Jusqu'à Schéhérazade, qui lui raconte une histoire merveilleuse tout les soirs, pendant mille et une nuits, ce qui distrait le Roi, qui finit par tomber amoureux de cette dernière et renonce a sa vengeance. Il existe de nombreuses versions des aventures de Sinbad, voici une version fantastique qui se déroule dans le monde magique des marionnettes. Dans laquelle Sinbad traverse une île mystérieuse peuplée de créatures légendaires, à la recherche d'ingrédients magiques qui lui permettront de sauver sa bien aimée, la princesse Parisa. Qui ne se souvient du terrible cyclope, de l'oiseau à deux têtes, du malveillant magicien Sokhura et de son armée de squelettes. Merveilleux Sinbad, rien ne pourra l'arrêter, car l'amour plus que la richesse, guide ses pas. Pour ce spectacle, la compagnie a souhaité mettre en scène de nombreux personnages, à la manière cartoon. Une esthétique stylisée propre au théâtre d'animation du Verseau. Le scénario, bien que retraçant une histoire relativement complexe, rend la compréhension facile au regard des enfants. Une alternance de scènes émouvantes et trépidantes captive leur attention. De nombreux agréments visuels sont utilisés. Certaines scènes sont présentées en ombres chinoises, d'autre en lumière noire ou encore en avant-scène en manipulation Bunraku. Les musiques, tirées du film américain de 1957, sont particulièrement adaptées au spectacle. Une alchimie détonante qui rend ce spectacle exceptionnel.
Création Thierry Lecoq sur le thème de l'ouverture sur le monde, inspiré de contes du monde C'est l'histoire d'un cochon voyageur : « - Holà ! Femme, cria le paysan de bon matin, apporte-moi du jambon et du saucisson pour mon petit déjeuner. - Il n'y en a plus ! Lui répond la paysanne. - Mais alors il faut tuer un cochon ! » Et c'est ainsi que Tirli vit son collègue emmené par le paysan. Il avait compris, la prochaine fois ce serait son tour. Il décida de maigrir et pour cela de partir en voyage, aidé par la petite fille du paysan. Un grand voyage ! Au Pôle nord, il rencontrera un petit esquimau et échappera de justesse aux crocs d'un ours affamé. En Chine, il sera poursuivi par un terrible cuisinier chinois et sera sauvé par un petit dragon fort sympathique. En Afrique, il trouvera de l'eau et évitera de peu la cuisson dans la marmite du village. Au Brésil, c'est la fête, car c'est le carnaval, et tous les brésiliens sont déguisés. Le reconnaîtront-ils ? Mais il est temps de rentrer, car partout où il se rend, un cochon même maigre est très appétissant surtout dans les pays ou les gens ont faim. Quand le paysan revint le chercher, il fût très en colère. « - Quoi ! Un cochon maigrichon ! A manger pour le cochon !! » Les aventures de Tirli sont inspirées de contes locaux. Les thèmes abordés permettent aux enfants de comprendre et d'appréhender les différentes préoccupations des populations du monde, de manière simple et originale. Ce spectacle permet une approche pédagogique riche et adaptée au jeune public. Les enseignants seront contents d'y trouver matière à travailler.
de P.J.STAHL, adaptation libre pour comédiens et marionnettes. L'histoire commence avec l'arrivé d'un colporteur marchand de tissus. Il s'agit d'un comédien en pied, qui sort du castelet et avance lentement vers le public, poussant devant lui une veille carriole branlante. Alors que de nombreux enfants se pressent autour de lui, il décide de relater la fameuse histoire d'un tout petit homme, Tom Pouce. Nous sommes au temps du roi Arthur. Il n'est plus colporteur, mais magicien, et se nomme désormais « Merlin ». Derrière lui, se matérialisent les premières marionnettes. Le Roi, pour s'assurer de la bonté de ses sujets, envoi Merlin, déguisé en mendiant, au contact du bon peuple. Seul un couple de bûcherons acceptera de partager son pain et pour les remercier il va leur donner un enfant, pas plus grand que le pouce. A ce stade du spectacle, les scènes se jouent sur 3 niveaux, l'action ce met en place et Tom Pouce va être confronté à son environnement. Le chat, des griffes duquel il échappera de justesse, une souris qui lui servira de monture. Puis il sera enlevé dans les airs par un oiseau rapace et tombera dans la rivière, avalé par un énorme poisson..Tout au long du spectacle, un fou délirant vient situer l'histoire, pour une meilleure compréhension des plus petits. Le rythme s'accélère progressivement, alternant scènes de poursuites savamment orchestrées et scènes interactives, permettant aux enfants de s'exprimer. On notera celle du cuisinier, très participative, dans laquelle TOM POUCE est repêché et s'extirpe in extremis du ventre du poisson. C'est alors la scène finale, la confrontation fatale avec un scarabée redoutable, sur le point de dévorer la fée. Mais c'est une histoire qui finie bien, et TOM, ressuscité par Merlin, coulera des jours heureux, sous la haute protection du Roi et de la Reine.
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